Nous avons assisté à une conférence
au sujet de la Polynésie. La conférence a eu lieu le lundi 16 avril dans l’Hôtel
Corso et a commencé à 5 heures de l’après-midi. Avant la conférence, nous
pouvions contempler une exposition, qu’un reporter photo hongrois qui s’appelle
«z402» a préparé sur la Polynésie Française. Il y avait à peu près 20 photos et
elles ont été prises en Polynésie. Selon nous, elles étaient très intéressantes
parce qu’elles n’ont pas présenté ce que nous avons l’habitude de voir dans les journaux de voyage mais elles nous
ont montré l’ambiance du pays, les images qu’on pourrait voir là. Les visages
des habitants, les bananes (donc en tahitien rima-rima), les plages se
trouvaient sur les photos. Après l’exposition, la conversation a commencé: elle
était tenue par Dominique qui a habité en Polynésie et par «z402». Selon nous, c
’était en effet une conversation et pas une conférence à cause de l’ambiance
amicale. Dominique et «z402» nous ont parlé des choses de la vie quotidienne
des polynésiens et des différences entre les habitudes européennes et polynésiennes.
Dominique a aussi fait partie de cette communauté et elle nous a enfin très
bien présenté les difficultés et les beautés de leurs vies. Le programme nous a
plu beaucoup parce qu’on entend beaucoup de choses sur ce pays, sur ses îles
éloignées et prestigieuses, mais en réalité on en sait très peu. Grâce à cet
évenement nous avons pu mieux connaître la vraie Polynésie Française.
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Quel est
votre nom; profession; lieu de résidence?
Je m’appelle Dominique Bonnin-Comelli. J’habite à Canbon. C’est un village entre St. Nazaire et Nantes. C’est le village d’un écrivain, qui s’appelle Jean Rouaud, il a été Prix Goncourt. Maintenant je suis à la retraite, mais j’étais professeur d’histoire-géographie, puis formatrice d’enseignants en Polynésie.
Je m’appelle Dominique Bonnin-Comelli. J’habite à Canbon. C’est un village entre St. Nazaire et Nantes. C’est le village d’un écrivain, qui s’appelle Jean Rouaud, il a été Prix Goncourt. Maintenant je suis à la retraite, mais j’étais professeur d’histoire-géographie, puis formatrice d’enseignants en Polynésie.
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Pourquoi
vous êtes ici?
J’ai été invitée par Mme Vatai, pour l’anniversaire des 10 ans de la section. J’ai fait partie du premier échange entre un lycée français et votre lycée.
J’ai été invitée par Mme Vatai, pour l’anniversaire des 10 ans de la section. J’ai fait partie du premier échange entre un lycée français et votre lycée.
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Comment
avez vous fait la connaissance de Mme Vatai?
Depuis que j’ai 10 ans, je voulais aller en Hongrie. Un jour j’ai vu une petite annonce dans le journal: une personne voulait échanger des objets folkloriques hongrois contre des objets folkloriques français. Cette personne était Mme Vatai.
Depuis que j’ai 10 ans, je voulais aller en Hongrie. Un jour j’ai vu une petite annonce dans le journal: une personne voulait échanger des objets folkloriques hongrois contre des objets folkloriques français. Cette personne était Mme Vatai.
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Comment
avez-vous connu la Polynésie?
Au début je voulais travailler dans la formation des enseignants, mais je ne pensais pas particulièrement à la Polynésie car je n’aimais pas l’avion, mais il y a eu une place en Polynésie et j’y suis allée.
Au début je voulais travailler dans la formation des enseignants, mais je ne pensais pas particulièrement à la Polynésie car je n’aimais pas l’avion, mais il y a eu une place en Polynésie et j’y suis allée.
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Qu’est-ce
que vous pensez de la Hongrie en général et de la section bilingue en
particulier?
J’aime la Hongrie, parce que l’Europe centrale a un côté un peu mytique un peu nostalgique qui nous renvoie a des souvenires littéraires. Pour la section, je trouve que c’est un bon établissement et que vous avez un très bon niveau de français. J’ai l’impression que les Hongrois apprennent facilement les langues étrangères.
J’aime la Hongrie, parce que l’Europe centrale a un côté un peu mytique un peu nostalgique qui nous renvoie a des souvenires littéraires. Pour la section, je trouve que c’est un bon établissement et que vous avez un très bon niveau de français. J’ai l’impression que les Hongrois apprennent facilement les langues étrangères.
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Est-ce
que vous pensez revenir à Pécs dans le futur?
Oui, peut-être dès l’année prochaine.
(Interview: Sziraticza Rebeka, Gali Kende)
Oui, peut-être dès l’année prochaine.
(Interview: Sziraticza Rebeka, Gali Kende)
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